14
novembre 2013
The
Times of Israel
La vérité sort quand les micros sont censés être éteint.
Jeudi, un interprète des Nations Unies, ignorant que son micro était allumé, prononça des paroles de vérité en réaction à l’adoption de neuf résolutions à caractère politique condamnant Israël et aucune résolutions sur le reste du monde.
Avec l’impression qu’elle parlait seulement à un collègue, l’interprète a prononcé les mots suivants dans le casque de tous les délégués de l’ONU, et devant le monde entier:
«Je pense que lorsque vous avez … un total de dix résolutions au sujet d’Israël et de la Palestine il doit y avoir quelque chose, « c’est un peu trop, non ? » Je veux dire, je sais que… Il y a d’autres situations vraiment mauvaises (carrément merdiques), mais personne ne parle de celles-là. »
Les délégués éclatent de rire. « L’interprète s’excuse. » La triste vérité est là. Et j’espère sincèrement qu’elle ne sera pas congédiée.