En dehors de quelques ONG courageuses, comme UN WATCH
qui ose dénoncer systématiquement les violations de tous les principes inscrits
dans la Charte des Nations
Unies, les autres semblent plus préoccupées par
l’avenir de leur propre statut. Certes elles s’inquiètent de la suppression des
mandats des rapporteurs spéciaux sur les pays, mais ne s’offusquent jamais du
langage de mépris et de haine qui envahit l’institution... Comme à Durban en
2001 et après, le silence est de mise. – Les Temps Modernes, nº 643-644, 2
juillet 2007.
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